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Introduction à la philosophie critique d'Emmanuel Kant | ![]() |
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Königsberg en 10 images | ![]() |
Chronologie contemporaine à Kant | ![]() |
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V: Vertu (dans sa véritable forme) (Tugend):
Le devoir d'apathie: C'est la défense de se laisser dominer par ses sentiments et ses affections.
Vice (Laster): C'est la transgression résolue en tant que principe d'action contraire au devoir (Doctrine de la vertu, p 62). C'est l'omission du devoir, qui procède du respect dû à chaque homme, c'est-à-dire qu'on lèse l'homme en ce qui touche sa légitime prétention. En ce sens c'est ce qui non seulement n'est pas propre à ajouter quelque chose de moral, mais encore supprime la valeur qui sans cela pourrait être revendiquée au profit du sujet (Doctrine de la vertu, p 142).
Vie (Leben): C'est pour un être, le pouvoir d'agir selon les lois de la faculté de désirer (Critique de la raison pratique, np7). c'est la faculté d'un être d'agir par ses représentations (Doctrine du droit, p85).
Vœu: C'est l'acte par lequel la faculté de désirer n'est pas liée la conscience de la faculté d'agir pour produire un objet (Doctrine du droit, p87).
Volonté (Wille): C'est la faculté de désirer qui possède son principe de détermination intérieur en la raison. En ce sens c'est la faculté de désirer considérée non point tant par rapport l'action (comme l'arbitre) que par rapport au principe de détermination de l'arbitre par l'action, elle n'a donc pas de principe de détermination, mais dans la mesure où elle peut déterminer l'arbitre, elle est la raison pratique elle-même (Doctrine du droit, p87). En tant que c'est de la volonté que procèdent les lois, c’est-à-dire que la volonté ne s'applique rien d'autre que les lois, la volonté ne peut être dite ni libre, ni non libre parce qu'elle ne porte pas immédiatement sur les actions, mais sur la législation pour les maximes des actions. C'est pourquoi elle est absolument nécessaire, sans même être susceptible d'aucune contrainte (Doctrine du droit, p100). La volonté est une faculté de choisir cela seulement ce que la raison reconnaît comme pratiquement nécessaire;
2) Des différents principes de la volonté: de la fin, du moyen, du mobile et du motif (Fondement, p103) (C. F. : principe) A) de la fin: elle est ce qui sert à la volonté de principes objectif pour se déterminer elle même, et si celle ci est donnée par la seule raison, elle doit valoir également pour tous les êtres raisonnables (C. F. : l'homme comme fin en soi, impératif pratique) ; B) du moyen: Il est ce qui contient simplement le principe de la possibilité de l'action dont l'effet est la fin; C) du mobile: C'est le principe subjectif du désir; D) Du motif: C'est le principe objectif du vouloir;
3) De l'autonomie de la volonté comme principe suprême de la volonté A) l'autonomie de la volonté: C'est cette propriété qu'à la volonté d'être à elle même sa propre loi; B) le principe de l'autonomie: C'est de toujours choisir les maximes de telle sorte que celle ci soient entendues en même temps comme lois universelles dans ce même acte de vouloir; C) la matière de la volonté: La volonté ne contiendra que la forme du vouloir en général, et cela comme autonomie: c’est-à-dire l'aptitude de la maxime de toute bonne volonté à s'ériger en loi universelle qui est même l'unique loi que s'impose à elle même la volonté de tout être raisonnable sans faire poser comme fondement un mobile ou un intérêt quelconque (Fondement, p120).
4) De l'union du subjectif et de l'objectif dans la législation pratique ou du troisième principe pratique de la volonté (Fondement, p108, 109 , 110) : Le principe de toute législation pratique réside objectivement dans la règle et dans la forme de l'universalité, ce qui la rend capable d'être une loi, tant disque subjectivement c'est dans la fin que le principe réside, or le sujet de toutes les fins, c'est tout être raisonnable, comme fin en soi. D'où la déduction du troisième principe pratique de la volonté comme condition suprême de son accord avec la raison pratique universelle:
"L'idée de la volonté de tout être raisonnable conçue comme volonté instituant une législation universelle" (Fondement, p108)
5) Remarque sur le troisième principe pratique de la volonté: On rejettera toutes les maximes qui ne peuvent s'accorder avec la législation universelle propre de la volonté. Donc la volonté est soumise à la loi de telle sorte qu'elle doit être regardée également comme législatrice, et comme n'y étant soumise que pour cette raison, et ainsi il est impossible qu'une volonté qui est elle même souveraine législatrice dépende en ce sens d'un intérêt quelconque, car une volonté ainsi dépendante aurait elle même encore besoin d'une autre loi qui vint astreindre l'intérêt de son amour propre à cette condition d'être capable de valoir comme loi universelle. Ainsi, ayant établie une complète indépendance de l'impératif catégorique vis à vis d'un quelconque principe empirique, Kant va appeler ce principe, principe de l'AUTONOMIE de la volonté, en opposition avec tous les autres principes de l’HETERONOMIE.
6) Du concept d'une volonté inconditionnellement bonne (Fondement, p116) :
"Est absolument bonne la volonté dont la maxime ne peut jamais se contredire"
"Agis toujours d'après une maxime telle que tu puisses la vouloir en même temps portée à l'universel, à la façon d'une loi"
"Agis selon la maxime qui puissent se prendre en même temps elle même pour objet comme loi universelle de la nature"
7) Remarque sur l'impératif catégorique en tant que principe d'une volonté absolument bonne (Fondement, p117) : Pour principe fondamental de toutes les maximes des actions il faut poser que le sujet des fins, c’est-à-dire l'être raisonnable même, ne doit jamais être traité simplement comme un moyen mais comme une condition limitative suprême dans l'usage de tous les moyens c’est-à-dire toujours en même temps comme une fin. En effet tout être raisonnable doit pouvoir se considérer en même temps comme auteur d'une législation universelle, et donc que c'est sa dignité qui implique qu'il doive considérer ses maximes toujours de son point de vue à lui, mais qui est aussi en même temps le point de vue de tout être raisonnable conçu comme législateur. C'est donc ainsi qu'un monde d'êtres raisonnables, considéré comme règne des fins est possible, et cela par la législation propre de toutes les personnes comme membres. C'est un pouvoir ou de produire des objets correspondants aux représentation ou de déterminer soi-même à réaliser ces objets, c’est-à-dire de déterminer sa causalité (intro p13). En ce sens, c'est un pouvoir de déterminer la causalité par la représentation de règles c’est-à-dire que les hommes sont capables d'agir d'après des principes et par suite aussi d'après des principes a priori (Critique de la raison pratique, p32).
"L'autonomie de la volonté est le principe unique de toutes les lois morales et des devoirs qui y sont conformes" (Critique de la raison pratique, p33).
Remarque sur l'autonomie de la volonté comme principe unique de la moralité: Le principe unique de la moralité consiste dans l'indépendance, à l'égard de toute matière de la loi, et en même temps aussi dans la détermination du libre choix par la simple forme de la législative universelle, dont une maxime doit être capable. En ce sens c'est la loi morale qui exprime l'autonomie de la raison pure pratique, c’est-à-dire de la liberté, et cette autonomie est elle-même la condition formelle de toutes les maximes, la seule par laquelle elles puissent s'accorder avec la loi pratique suprême (Critique de la raison pratique, p33). Ce n'est donc pas l'objet qui est le principe déterminant de la volonté pure mais la simple forme de la loi, par laquelle je limitais ma maxime fondée sur le penchant, pour lui procurer l'universalité d'une loi et l'adapter ainsi à la raison pratique; c'est de cette limitation que peut naître seulement alors le concept de l'obligation d'étendre la maxime de l'amour de soi à la félicité d'autrui (Critique de la raison pratique, p35).
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