Introduction à la philosophie critique d'Emmanuel Kant | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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E : Effacement: C'est une sorte de timidité et de crainte de ne pas paraître à son avantage aux yeux des autres (Didactique anthropologique, § 77/p114).
Effronterie: C'est l'aplomb qui donne l'apparence de ne tenir pour rien le jugement d'autrui sur soi (Didactique anthropologique, § 77/p114)
Egoïsme: Du jour où l'homme commence à dire " Je " , il fait apparaître partout où il le peut son moi bien-aimé et l'égoïsme progresse de manière, sinon manifeste (car l'égoïsme des autres s'oppose à lui), du moins enveloppé: et cela par un renoncement apparent et par une prétendue modestie, il cherche à se ménager d'autant plus sûrement, dans le jugement des autres, une prééminente valeur (Didactique anthropologique, p 18). L'égoïste logique est celui qui ne tient pas pour nécessaire de vérifier son jugement d'après l'entendement d'autrui, comme s'il n'avait aucun besoin de cette pierre de touche. Exemple: La liberté de s'exprimer est un moyen important d'éprouver l'exactitude de nos propres jugements: cela signifie que la limite est le coup d'audace qui est de risquer devant le public une affirmation qui contredit l'opinion générale, surtout celle des gens intelligents: cette manifestation d'égoïsme s'appelle le goût du paradoxe: C'est avoir du courage à avancer quelque chose lorsqu'il y a du danger de ne trouver accès qu'auprès d'un petit nombre de personne, la prédilection du paradoxe est l'excentricité logique: on ne veut pas imiter les autres mais passer pour un homme d'exception, en fait, on ne manifeste par là que sa singularité, en ce sens, ce n'est qu'affirmer son sentiment propre mais avoir le goût du paradoxe ne doit pas être pris en mauvaise part s'il n'est pas fondé sur le vain désir de se distinguer (Didactique anthropologique, p 19). De l'égoïsme esthétique ou de la forme de présomption du goût: L'égoïste esthétique est celui qui se contente de son propre goût, c'est pourquoi il se dérobe à tout perfectionnement, s'isolant dans le jugement, s'applaudissant lui-même et ne cherchant qu'en soi le critère de la beauté esthétique (Didactique anthropologique, p 19). De l'égoïsme morale ou de la forme de présomption de l'intérêt pratique: L'égoïste morale est celui qui ramène toutes les fins à soi, qui ne voit d'utilité qu'en ce qui lui est utile et qui, par eudémonisme, ne fonde la destination suprême de son vouloir que sur son utilité, sur son bonheur personnel et non sur la représentation du devoir: chaque homme se fait une idée différente de ce qui compte pour son bonheur et cet égoïsme conduit à n'avoir aucun critère pour l'exacte concept du devoir en tant qu'il doit être un principe universellement valable: tous les eudémonistes sont donc des égoïstes pratiques (Didactique anthropologique, p 19).
Enjouement: La disposition à l'enjouement est dans la plupart des cas, une qualité du tempérament, mais elle peut être aussi un effet des principes (comme le principe d'Epicure ou principe de plaisir qui devait désigner à proprement parler le coeur continuellement enjoué du sage) (Didactique anthropologique, § 62/p97).
Emerveillement: De l'émerveillement devant l'inouï: Il semble que l'émerveillement devant l'inouï ait en soi beaucoup d'attrait pour un esprit faible; non pas seulement parce qu'il fait tout à coup des découvertes, mais parce qu'il est libéré d'un usage de la raison qui lui pèse et qu'il invite les autres à le rejoindre dans l'ignorance (Didactique anthropologique, p 35).
Emotion: C'est le sentiment qui pousse le sujet à rester dans l'état où il se trouve (agréable) ou à l'abandonner (désagréable) (Didactique anthropologique, § 76/p111). Du sentiment de plaisir et de déplaisir (joie et tristesse) : C'est le sentiment agréable ou désagréable qui est lié à la conscience (Didactique anthropologique, § 76/p111). De l'effroi et du saisissement: C'est une crainte soudaine qui met l'âme hors d'elle même. A l'effroi ressemble le saisissement qui frappe (sans affoler encore) et incite l'esprit à se recueillir déjà pour la réflexion (Didactique anthropologique, § 76/p111). C'est un effroi qui, sur le moment même, excite les forces à s'opposer sans délai au mal (Didactique anthropologique, § 76/p112). C'est la crainte d'un objet dont la menace est indéterminée (Didactique anthropologique, § 76/p112). C'est l'angoisse de se voir méprisé par une personne présente: dans cette mesure elle est une émotion (Didactique anthropologique, § 76/p112). De la division des émotions par analogie avec le système Brown: C'est une émotion forte, c'est dans sa nature d'exciter la force vitale, mais par là même, de l'épuiser souvent (Didactique anthropologique, § 76/p112). C'est une émotion faible et il est de sa nature de détendre la force vitale, mais par le fait même d'en ménager souvent le rétablissement le rétablissement (Didactique anthropologique, § 76/p112). Le rire doublé d'émotion est une jubilation convulsive (Didactique anthropologique, § 76/p112). C'est la sensation dont les larmes accompagnent la sensation dissolvante d'une colère impuissante devant le destin ou devant autrui, et des injures qu'ils ont fait subir (Didactique anthropologique, § 76/p112). Des émotions qui paralysent les fins qu'elles se proposent: C.F. la colère, la honte, l'étonnement. Des émotions par lesquelles la nature favorise mécaniquement la santé: cf. le rire et les larmes. Leurs effusion libèrent la force vitale de ce qui les entrave. Des sentiments corporels apparentés aux émotions: Ils sont instantanés, éphémères et ne laissent pas de trace comme le frisson où on a l'impression d'être transi par de l'eau froide. En fait c'est la pure pensée du danger (on sait bien qu'il n'existe pas) qui produit cette impression: celle-ci ne paraît pas désagréable, si elle n'est qu'un accès de peur et non de panique (Didactique anthropologique, § 79/p118).
Emotion: C'est le sentiment d'un plaisir ou d'un déplaisir actuel qui ne laisse pas le sujet parvenir à la réflexion (Didactique anthropologique, § 73/p109). Etre soumis à l'émotion et à la passion est toujours une maladie de l'âme puisque toutes deux excluent la maîtrise de la raison. Dans l'un et dans l'autre, même degrés de violence, mais elles diffèrent en qualité: tant pour les prévenir que pour les guérir, un médecin aurait à employer des méthodes différentes (Didactique anthropologique, § 73/p109). C'est un principe qui veut que le sage ne soit jamais ému , car l'émotion rend plus ou moins aveugle (Didactique anthropologique, § 75/p110). Celui dont le regard inquisiteur et réfléchi scrute l'ordonnance de la nature dans son immense multiplicité est stupéfait d'une sagesse à laquelle il ne s'attendait point: c'est un émerveillement auquel on ne peut s'arracher; mais cette émotion ne peut être suscitée que par la raison; et on éprouve une sorte de frisson sacré à voir s'ouvrir sous ses pieds l'abîme de supra-sensible (Didactique anthropologique, § 79/p116).
Ennui: C'est une douleur négative éprouvée par celui qu'aucune douleur positive n'incite à l'action. En ce sens, c'est une absence de sensation que l'homme perçoit en lui-même lorsqu'il essaie de satisfaire son instinct vital (Didactique anthropologique, § 60/p95).
Ensorcellement: C'est un leurre des sens qui ne relève pas, dit-on, des causes naturelles: car le jugement sur l'existence d'un objet (ou sa nature) se modifie quand on y prête attention et on juge que cet objet n'existe pas, les sens paraissent alors se contredire (Didactique anthropologique, p 34).
Entendement: En tant que faculté de connaître, elle comprend la faculté de saisir les représentations données (l'intuition de l'objet), la faculté d'isoler, c’est-à-dire ramener le général au particulier (le concept de l'objet), et la faculté de réfléchir pour en produire une connaissance (Didactique anthropologique, p 25). l'âne celui qui les possède à un degrés démesuré et le génie celui qui les possède marquées par l'originalité (Didactique anthropologique, p 25). Des incapacités d'un entendement sain dans son exercice: Celle-ci imposent que la majorité du sujet soit retardé jusqu'à la maturité convenable, ou qu'il soit remplacé par une autre personne pour les affaires civiles. On dit qu'un homme est sous tutelle quand un homme est frappé d'incapacité dans l'usage particulier de son entendement pour les affaires civiles. On dit d'un homme qu'il est mineur si son incapacité pour les affaires civiles est due à la non maturité de l’âge (Didactique anthropologique, p 77).
Entendement:
L'entendement doit contenir la faculté de saisir les représentations données pour reproduire l'intuition de l'objet, la faculté d'isoler ce qui est commun à plusieurs représentations pour produire le concept de ces objets et la faculté de réfléchir pour en produire la connaissance (Didactique anthropologique, p 25). L'objet de cette faculté sont les représentations qui comportent une pure action (la pensée). Elle a le caractère de la spontanéité de l'aperception, c’est-à-dire de la pure conscience de l'action qui constitue la pensée, et relève de la logique (Didactique anthropologique, p 27). L'entendement est une faculté de penser en tant que penser signifie se représenter quelque chose par des concepts. La faculté des concepts saisit l'universalité des représentations des objets, la règle à la quelle le multiple des intuitions sensibles doit être subordonnée pour produire l'unité dans la connaissance de l'objet (Didactique anthropologique, p 68).
Entendement, jugement et raison.
Cela constitue toute l'ampleur de la faculté intellectuelle de connaître dans la mesure où celle-ci est considérée comme une aptitude à animer la pratique, c’est-à-dire à se proposer des fins (Didactique anthropologique, p 69). Comparaisons anthropologique des trois facultés supérieures de connaître (de l'entendement en général) : Un entendement juste brille par la conformité des concepts à la connaissance des objets, c’est-à-dire celui qui a, pour saisir la vérité, capacité et adresse, et cela en tant que le concept doit s'accorde avec l'objet de sa détermination. L'entendement juste, qui suffit pour les concepts de la connaissance commune, s'appelle l'entendement sain ( c’est-à-dire qui convient pour l'usage quotidien). En ce sens, un entendement droit et juste impose lui-même des limites à l'étendue du savoir qu'on exige de lui, et celui qui l'aura reçu de la nature en usera avec réserve (Didactique anthropologique, p 68). Si par le mot d'entendement, on vise en général la faculté de connaître les règles (et par conséquent de connaître par les concepts, enveloppant ainsi toute la faculté supérieure de connaissance, on ne doit pas par là entendre les règles d'après lesquelles la nature dirige l'homme dans ses comportements (l'instinct), mais seulement les règles qu'il fait lui-même (cela signifie que ce qu'il apprend et mémorise selon les lois de l'imagination reproductrice est fait sans l'aide de l'entendement). Un entendement juste, c'est un entendement sain dans la mesure où ces concepts sont conformes aux fins qu'on veut atteindre en les utilisant. Un entendement juste est de toutes les facultés intellectuelles, la première et la plus importante car il parvient à ses fins avec la plus grandes économie de moyens (Didactique anthropologique, p 69). L'entendement sous sa forme commune
et saine ne prétend ni à l'esprit ni à l'acuité:
ceux-ci constituent une sorte de luxe intellectuel, alors que l'entendement
se limite à ce qui est véritablement nécessaire (Didactique
anthropologique, p 72).
Enthousiasme: C'est le fait d'ajouter de l'émotion au fantasme (Didactique anthropologique, p 72).
Epouvante: C'est le sentiment désagréable du sublime, en tant que celui-ci a quelque chose d'attrayant mais aussi de crainte, par un triomphe continuel de la douleur (que procure la crainte) (Didactique anthropologique, § 68/p103).
Esprit:
C'est lorsque le malade est conscient que le cours de ses pensées ne sont pas justes: joie et chagrin intempestifs et par suite caprice, alternent en lui, comme le temps qu'on doit prendre comme il vient. Les accès inopinés (au fantasme et à l'enthousiasme) qui saisissent les personnes chimériques sont des crises de fantasmagorie (Didactique anthropologique, p 72). Certaines sensations internes découvrent moins un mal réel et actuel dans le corps qu'elles n'en font naître le souci, et la nature humaine a cette propriété particulière de renforcer ou de prolonger, par l'attention portée à certaines sensations locales, le sentiment qu'on a (Didactique anthropologique, p 79). L'hypochondrie, dans la mesure où elle est la maladies des chimères, est à l'origine du mal physique purement imaginaire; le malade a conscience que ce sont des imaginations; mais de temps en temps il ne peut s'empêcher de les tenir pour réelles: ou inversement, à partir d'un mal physique réel, il ne peut s'empêcher d'imaginer que mille accidents extérieurs et soucis fâcheux surviennent dans ses affaires; mais tous ceci s'évanouit, dés que, la digestion achevée la flatuosité disparaît. En ce sens l'hypochondriaque est un homme de chimères (de fantasmagorie) de la plus pitoyable espèce: entêté à ne pas se laisser désabuser de ses imaginations. Pour caractériser cette imagination, il faut ajouter l'enjouement extraordinaire, l'esprit vif, le rire joyeux, auxquels ce malade se sent parfois livré et qui forment le jeu toujours changeant de ses humeurs (Didactique anthropologique, p 80). Elle peut être une affliction simplement illusoire, que se crée le morose persécuteur de soi-même (toujours prêt à se ronger). Les perturbations de l'esprit (la manie) : La manie consiste dans le cours arbitraires des pensées, qui a ses propres règles (subjectives), mais dans un sens opposé aux règles (objectives) qui coïncident avec les lois de l'expérience (Didactique anthropologique, p 72). Les perturbation de l'esprit concernant la représentation sensible: Du point de vue de la sensibilité: Elle est imbécillité ou délire. Du point de vue du jugement et de la raison: Lorsqu'elle trouble le jugement et la raison, elle est divagation ou démence. Des déficiences de l'esprit quand à la faculté de connaître: cf.: tête obtue, compréhension, stupidité, sottise, l'homme avisé et intelligent, honnête, niaiserie, , distraction, dissipation, absence. Cet esprit joint (assimile) des représentations hétérogènes qui souvent, selon la loi de l'imagination (de l'association), sont fort éloignées l'une de l'autre, c'est une faculté d'assimilation qui relève de l'entendement (en tant que faculté de la connaissance de l'universel) dans la mesure où il ramène les objets à des espèces. Il a besoin ensuite de la faculté de juger pour déterminer le particulier sous l'universel, et appliquer la faculté de penser à la connaissance. Avoir de l'esprit relève, comme talent particulier, d'une sensibilité généreuse dans l'échange des pensées: d'une propriété de l'entendement en général fort difficile à expliquer en quelque sorte sa complaisance qui contraste avec la rigueur de l'entendement dans l'application de l'universel au particulier (des concepts de classes à ceux d'espèces) : c'est que celle-ci limite aussi bien le pouvoir d'assimilation que la tendance à assimiler ( §54/p8586). C'est celui qui dans une oeuvre de l'esprit réunie les dispositions suivantes à un degré élevé: à savoir, en un premier temps, trouver des ressemblances entre des choses dissemblables et ainsi de donner à l'entendement une matière pour rendre ses concepts universels, et dans un second temps, avoir un jugement qui limite les concepts et contribue plus à leur rectification qu'à leur élargissement, ce qui est limitatif mais sérieux, rigoureux du point de vue de la liberté de penser ( §55/p86).
Esprit en tant que faculté: C’est la faculté de penser le général pour l'appliquer au particulier, il s'agit pour lui de remarquer l'identité d'une multiplicité qui est en partie identique (Didactique anthropologique, p 71). Esthétique: " L'activité esthétique dont la première exigence est la popularité, trace un chemin qui peut échapper à ces deux défaut [les reproches de superficialité pour la sensibilité et de l'aridité pour l'entendement] " (Didactique anthropologique, p 31).
Etat: Et quand Adam Smith dit injustement de ces chefs d'Etats qu'ils sont les plus grands gaspilleurs du monde, il est contredit par les lois somptuaires qui on été promulguées avec sagesse dans beaucoup de pays (Didactique anthropologique, p 77) (Adam Smith La richesse des nations LII, chap. III).
Etonnement: C'est le sentiment agréable du sublime, en tant que celui-ci a quelque chose d'attrayant mais aussi de crainte, par un triomphe continuel sur la douleur (que procure la crainte). Et qu'il s'agisse d'une description ou d'une représentation elle peut et doit toujours être belle (donc attrayante) sinon l'étonnement devient épouvante (Didactique anthropologique, § 68/p103). C'est l'embarras de se trouver devant l'inopiné; c'est une excitation du sentiment qui inhibe d'abord le jeu naturel des pensées, il est donc désagréable (Didactique anthropologique, § 78/p116).
Etre:
Etude:
Eudémonisme: Des eudémonistes comme égoïstes pratiques: cf.: l'égoïsme /l'égoïste morale.
Evanouissement: Il fait suite à un vertige et est un prélude à la mort (Didactique anthropologique, p 46).
Exaltation: C'est lorsque l'originalité de l'imagination ne s'accorde pas aux concepts (50) (cf.: le génie). C'est aussi lorsque la démence est originale tout en étant involontaire dans ses accès, c’est-à-dire lorsque les Idées jaillissent aisément mais sans règles, et qui concerne la raison (Didactique anthropologique, p 73). si le sens interne est considéré comme étant son propre maître; si les sensations sont considérés comme ayant valeur de jugements; alors on tombe dans une pure et simple exaltation proche parente de l'hallucination.
Existence:
Expérience ou la connaissance empirique: " Toute expérience n'est que la connaissance des objets tels qu'ils nous apparaissent et non pas tels qu'ils sont " (Didactique anthropologique, p 27).
L'expérience est une connaissance empirique, mais la connaissance, en tant qu'elle repose sur les jugements, nécessite la réflexion (Didactique anthropologique, p 27). Une expérience est l'unification de phénomènes selon les lois de l'entendement (Didactique anthropologique, p 28).
Extravagance: C'est le délire doublé d'émotion (Didactique anthropologique, p 73). |
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